mercredi 17 avril 2013

À l'intention de mes lecteurs et de mes commentateurs



Bonjour à toutes et à tous

Dans le sillage des textes publiés, le texte d'aujourd'hui se veut une mise au point relative aux commentaires exprimés ainsi qu'à la nature du média Internet d'une part et d'autre part, au style que j'ai adopté dès le début de mes publications.
Mais avant tout, je veux exprimer mon étonnement et mon plaisir devant vos réactions.
C'est donc un profond MERCI du fond du cœur que je vous envoie à travers ces quelques lignes.
Je tiens à souligner mon admiration devant cet outil de communication qu'est Internet. Quelle formidable évolution pour nous citoyens ordinaires. Cela est vrai autant pour ceux qui veulent s'informer, en dehors des médias contrôlés par les oligarques  que ceux qui aspirent a s'exprimer, ce qui hier encore était pratiquement impossible.
Un petit point noir selon moi et il se discute, c'est cette propension, pour ceux qui s'expriment à écrire des textes sous le couvert de pseudonyme.  
J'ai quelques difficultés à trouver sérieuses l'indignation de ceux qui haranguent les politiciens parce qu'ils cachent des informations, qu'ils manquent de transparence, tout cela sous les joyeux pseudonymes de "hilare 24" ou "pitou baveux», etc.
Mais bon, un jour viendra ou nous serons tous fiers de nos convictions.
En ce qui me concerne, j'ai fait mon choix, je signe.

Nombreux sont les commentaires qui me proposent des réflexions sur les règles du système économique actuel. J'apprécie cette demande de rigueur. Je le redis, je ne suis pas un spécialiste des questions économiques et si je connais les accords de Berton Woods en 1948, si j'ai lu Adam Smith, Milton Friedman et ses Chicago Boys, oui je connais John Maynard Keynes et certains autres penseurs de l'économie moderne,  ce que je vous propose dans ces textes n'est en aucun cas une analyse sur notre système monétaire et économique, cela a été fait par des centaines d'intellectuels du monde entier, qu'ils soient pour ou contre.
Je vais employer un gros mot.
Je suis de ceux qui proposent un nouveau paradigme social.
Un paradigme dans lequel l'économie serait au service de l'humanité.
Or je pense que la première action pour atteindre cet objectif, cette nouvelle ère, c'est de commencer par la destruction  du système monétaire actuel puisque, selon moi, l'argent est le carburant de cette machine de destruction massive.
Les questions à se poser et plusieurs d'entre vous l'on fait, c'est :

1.     Que peut-il réellement se passer si, nous les citoyens, cessons d'utiliser l'argent ?
2.    Combien de temps le système peut-il durer avant de s'effondrer ?
3.    Quels seront les élus progressistes, actuellement en place, qui supporteront ce mouvement pour un changement de paradigme ?

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L'autre volet de ce texte réfère à la nature d'une publication dans un blogue.

Les textes que vous lisez sont des bribes qui s'enchainent. Elles émanent d'un texte long qui couvre trois éléments fondamentaux de nos vies.

Les besoins essentiels de l'être humain.
Un projet d'organisation sociale fondée sur la démocratie directe.
Un modèle de gestion égalitaire géré et contrôlé selon les principes au service.

Lorsqu'un texte est édité selon le mode traditionnel, un éditeur, un livre, le lecteur a accès dés, qu'il possède son bouquin, à la totalité de l'œuvre. Ce n'est pas le cas avec ce nouveau modèle de publication.
Alors, amis lecteurs patience, si Dieu me prête vie, vous connaîtrez le "Happy end" que je vous ai concocté !

Jean-Pierre Pfisterer

Paradigme
En économie, le mot "paradigme" a été fréquemment utilisé dans les années 1980 pour qualifier un contexte, un environnement économique (ex : "changer de paradigme").

Un petit chef d'œuvre pédagogique à visionner


  

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